@ Boreas : çà y est : je commence à comprendre : il faudrait un pays, que dis-je, un pays, une planète plutôt, où les prêts seraient accordés sans intérêts.
Certes, celà ne serait qu’un début. L’idéal serait que ni nous, ni les états n’aient à emprunter. Que l’on cesse enfin de vivre au-dessus de nos moyens.
Que ce serait salutaire.
En attendant, qu’est-ce-qu’on peut faire « concrètement », comme ils disent à la télé ? Voter pour des parlementaires qui promettraient l’interdiction des prêts à intérêts, promulgueraient une loi interdisant aux banques de prêter plus qu’elles ne détiennent en dépôts-clients, capitaux propres et réserves, qui attendraient le terme de leurs prêts pour encaisser le capital, sans titriser hâtivement leurs créances aux fins de spéculation ?
D’ailleurs, il faudrait bannir la spéculation. Ou alors, en verser le produit à l’état.
Dans ce cas, j’irai voter des deux bras et des deux pieds, sans me soucier de la couleur politique de ces parlementaires, car l’argent n’a pas d’odeur et l’on trouve des rentiers dans tous les partis, modulo le pourcentage.
Tiens ! C’est curieux çà : on trouve des rentiers dans tous les partis… Cela tiendrait-il donc à l’insupportable nature humaine ?